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 Fiche race - Bouledogue Français

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Daffy
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MessageSujet: Fiche race - Bouledogue Français   Fiche race - Bouledogue Français EmptySam 30 Avr 2011 - 20:03

Bouledogue Français

Fiche race - Bouledogue Français Bouba
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Fiche race - Bouledogue Français FrenchBulldog
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Concernant son histoire, le bouledogue, bouledogue français ou bull-dog est une race canine de la race molosses qui apparut d'abord en orient avec le molosse de Sumer dont les principales caractéristiques sont un crâne très développé et une imposante musculature. Il descend du dogue du Tibet , ancêtre de tous les chiens de type molosse et dont il tire certaines particularités, comme le museau aplati et la mâchoire puissante.

Voici quelques informations sur ses origines :
Les fossiles qui pourraient permettre de situer la localisation d'origine des chiens de ce type sont rares. En revanche, il existe des indices anciens de leur existence : les Assyriens ont laissé des bas-reliefs datés du Xe siècle av. J.-C., où apparaissent des chiens de ce type, proches du chien du Tibet.
Deux bouledogues français

Leurs aptitudes naturelles pour le combat en ont fait des auxiliaires prisés des groupes de guerriers barbares venant des régions orientales. La race initiale, présente depuis environ 5 000 ans dans la région du Tibet et utilisée principalement comme arme et comme assistant pour la chasse de gros gibier, a beaucoup évolué au long de son parcours vers l'Europe, du fait des contraintes de la vie nomade et des croisements avec des races locales.

Leur utilisation comme animaux de combat, contre d'autres chiens ou contre des fauves (ours, lions, taureau, etc.) est également attestée, suscitant admiration pour leur courage. Ces pratiques n'ont commencé à régresser au Royaume-Uni qu'en 1835, lorsqu'une loi les a interdites : elles ont pourtant perduré de manière clandestine pendant un demi-siècle au moins. Ce sont ces pratiques qui lui ont donné son nom : bull-dog (bull, en anglais, signifie taureau), francisé ensuite en bouledogue. La taille moyenne a diminué régulièrement entre leur introduction en Europe et la fin du XIXe siècle, en même temps que d'autres variations morphologiques, par sélection des individus les moins imposants.

Leur utilisation a ensuite évolué vers la chasse aux rongeurs, par croisement avec des chiens de type terrier, ce qui a contribué à améliorer leur ténacité. Ces métissages successifs ont sans doute produit des individus aux oreilles droites.

C'est vers 1850 que ce chien est importé en France par des ouvriers britanniques. Il rencontre un certain succès comme chien ratier auprès des commerçants. Ce n'est que plus tard après cette francisation qu'il devient un chien de compagnie apprécié par les Occidentaux des deux côtés de l'océan Atlantique.

Fin du XIXe siècle, le Kennel Club acceptait déjà comme canon des toy bulldogs, proches des bouledogues français. Ce qui fut l'objet de discussions interminable entre Français et Britanniques… Néanmoins les Français maintiennent l'idée que le canon de la race leur appartient et que la race existait bien avant. Il est probable que ces toy bulldogs s'accouplèrent avec de petits ratiers français et que de ces croisements apparut ce petit chien de 11 kg, plus proche du bouledogue que du ratier. Une sélection devait donner la préférence aux oreilles droites plutôt que repliées et à un corps plus trapu. Ces chiens étaient à la fois utilisés pour la chasse des rongeurs indésirables et comme chien de compagnie, notamment auprès des bouchers des quartiers de la Vilette et des Halles à Paris, ou encore auprès des femmes de petite vertu chez qui leur originalité séduisait les visiteurs. À cette époque, Toulouse-Lautrec adora ces petits chiens amusants, effrontés, avec une frimousse remarquable.

La popularité de ce chien croissait auprès de certains amateurs comme Édouard VII du Royaume-Uni qu'on peut voir sur certaines photographies en compagnie de son bouledogue français appelé Peter. Le bouledogue français fut également la coqueluche de Mistinguett, Colette et Yves Saint-Laurent. La race connut un succès fracassant jusqu'aux États-Unis où des personnalités comme Joséphine Baker s'entichèrent de leur petit animal. Avec les difficultés et les affres des guerres mondiales, beaucoup d'éleveurs de chien abandonnèrent leur élevage, si bien que cette race a progressivement perdu sa notoriété. On remarque cependant à partir de 1980 un regain pour l'élevage du bouledogue français. Les bouledogues français sont parfois appelés « Dondon » ou « Boulis » par les passionnés.


Par rapport à son caractère, le bouledogue français est un chien plein de vie, assez actif, affectueux et intelligent.
C'est un bon chien de compagnie, il s'adapte bien à la vie en appartement.


Voici ses caractéristiques d'après le standard d'origine publié à la date du 28.04.1995 :

Aspect général : Typiquement un molossoïde de petit format. Chien puissant dans sa petite taille, bréviligne, ramassé dans toutes ses proportions, à poil ras, à face courte et camuse, aux oreilles droites, ayant une queue naturellement courte.

Il doit avoir l'apparence d'un animal actif, intelligent, très musclé, d'une structure compacte et d'une solide ossature.

La tête doit être très forte, large et carrée, la peau la recouvrant en formant des plis et des rides presque symétriques.
La tête du bouledogue est caractérisée par un retrait du massif maxillo-nasal, le crâne ayant pris en largeur ce qu'il a perdu en longueur.

Le crâne est large, presque plat, le front très bombé. Les arcades sourcilières proéminentes, séparées par un sillon particulièrement développé entre
les yeux. Le sillon ne doit pas se prolonger sur le front. La crête occipitale est très peu développée. Son stop est profondément accentué.

Sa truffe est large, très courte, retroussée, les narines bien ouvertes et symétriques, dirigées obliquement vers l'arrière.
L'inclinaison des narines ainsi que le nez retroussé ( dit "remouché") doivent toutefois permettre une respiration nasale normale.

Son chanfrein est très court, large, présentant des plis concentriquement symétriques descendant sur les lèvres supérieures (longueur 1/6 degré
de la longueur totale de la tête).

Ses lèvres sont épaisses, un peu lâches et noires. La lèvre supérieure rejoint l'inférieure en son milieu et cache complètement les dents qui ne doivent jamais être visibles. Le profil de la lèvre supérieure est descendant et arrondi. La langue ne doit jamais être apparente.

Ses mâchoires sont larges, carrées, puissantes.
La mâchoire inférieure décrit une courbe large, aboutissant en avant de la mâchoire supérieure.
La bouche étant fermée, la proéminence de la mâchoire inférieure (prognathisme) est modérée par l'incurvation des branches du maxillaire inférieur. Cette incurvation est nécessaire pour éviter un décalage trop important de la mâchoire inférieure.

Ses dents : Les incisives inférieures ne sont en aucun cas en arrière des incisives supérieures. L'arcade incisive inférieure est arrondie. Les mâchoires ne doivent pas présenter de déviation latérale ni de torsion. Le décalage des arcades incisives ne saurait être strictement délimité, la condition essentielle restant que la lèvre du haut et celle du bas se rejoignent pour cacher complètement les dents.

Les muscles des joues sont bien développés, mais non en saillie.

Ses yeux ont l'expression éveillée, placés bas, assez loin de la truffe et surtout des oreilles, de couleur foncée, assez grands, bien ronds, légèrement en saillie et ne laissant voir aucune trace de blanc (sclérotique) quand l'animal regarde de face. Le bord des paupières doit être noir.

Ses oreilles sont de grandeur moyenne, larges à la base et arrondies au sommet. Placées haut sur la tête, mais pas trop près l'une de l'autre, portées droites. Le pavillon est ouvert vers l'avant. La peau doit être fine et douce au toucher

Son encolure est courte, légèrement incurvée, sans fanon.

Son dos est large et musclé. Ses reins sont courts et larges. Sa croupe est oblique.
Sa poitrine est cylindrique et bien descendue, côtes dites en tonneau, très arrondies.
Son poitrail est largement ouvert. Son ventre et ses flancs sont relevés sans être levrettés.

Sa queue est courte, attachée bas sur la croupe, collée sur les fesses, épaisse à la base, nouée ou cassée naturellement et effilée à l'extrémité. Même en action, elle doit rester au-dessous de l'horizontale. La queue relativement longue (ne dépassant pas la pointe du jarret), cassée et effilée, est admise, mais elle n'est pas recherchée.

Il a des aplombs réguliers vus de profil et de devant.

Ses épaules sont courtes, épaisses, offrant une musculature ferme et apparente.
Ses bras sont court. Ses coudes sont strictement collés au corps. Ses avant-bras sont courts, bien séparés, rectilignes et musclés. La carpe et métacarpe sont solides et courts.

Les membres postérieurs sont forts et musclés, un peu plus longs que les membres antérieurs, élevant ainsi l'arrière-main. Les aplombs sont réguliers vus de profil et de derrière. .
Ses cuisses sont musclées, fermes, sans être trop arrondies. Ses jarrets sont assez descendu, ni trop angulé, ni surtout trop droit.
Métatarse : Solide et court.

Le bouledogue doit naître sans ergots.

Les pieds antérieurs sont ronds, de petite dimension, dits "pieds de chat", bien posés sur le sol, tournés légèrement en dehors.
Les doigts sont bien compacts, les ongles courts, gros et bien séparés.
Les coussinets sont durs, épais et noirs. Chez les sujets bringés les ongles doivent être noirs. Chez les caille et les fauves la préférence ira aux ongles foncés, sans toutefois pénaliser les ongles clairs.
Les pieds postérieurs sont bien compacts.

Concernant les allures, celles ci sont dégagées, les membres se déplaçant parallèlement au plan médian du corps.

Son poil est beau, poil ras, serré, brillant et doux.

Voici les différentes robes :
• Uniformément colorée fauve, bringée ou non, ou à panachure limitée.

• fauve bringée ou non, à panachure moyenne ou envahissante.
Toutes les nuances du fauve sont admises, du rouge au café au lait.
Les chiens entièrement blancs sont classés dans les "fauve bringé à panachure blanche envahissante".
Lorsqu'un chien présentera une truffe très foncée, des yeux sombres entourés de paupières foncées, certaines dépigmentations de la face pourront être exceptionnellement tolérées chez de très beaux sujets.

Le poids ne doit pas être inférieur à 8 kilos, ni supérieur à 14 kilos, la taille étant proportionnée au poids.

Tout écart par rapport à ce qui précède doit être considéré comme un défaut qui sera pénalisé en fonction de sa gravité.
• Nez serré ou pincé et ronfleurs chroniques.
• Lèvres non jointives à l'avant.
• Dépigmentation des lèvres.
• Yeux clairs.
• Fanon.
• Queue relevée ou trop longue ou anormalement courte.
• Coudes décollés.
• Jarret droit ou placé vers l'avant.
• Allures incorrectes.
• Poil trop long.
• Robe mouchetée.

DEFAUTS GRAVES :
• Incisives visibles, la bouche étant fermée.
• Langue apparente, la bouche étant fermée.
• Chien "battant du tambour" ( mouvement raide des antérieurs).
• Taches de ladre à la face, sauf dans le cas des fauves bringés à panachure blanche moyenne ( caille) et des fauves à panachure limitée ou envahissante (fauves).
• Poids excessif ou insuffisant.

DÉFAUTS ÉLIMINATOIRES :
• Truffe de couleur autre que le noir.
• bec de lièvre.
• Chiens dont les incisives inférieures s'articulent en arrière des incisives supérieures.
• Chiens dont les canines sont visibles de façon permanente, la bouche étant fermée.
• Yeux hétérochromes.
• Oreilles non portées droites.
• Mutilation des oreilles, de la queue ou des ergots.
• Chien anoure.
• Ergots aux postérieurs.
• Robe de couleur noir et feu, gris souris, marron.
N.B. : Les mâles doivent avoir deux testicules d’aspect normal complètement descendus dans le scrotum.


Son espérance de vie est en moyenne de 12 ans.

Selon la Fédération Cynologique Internationale, cette race appartient au groupe 9 et à la section 11.

Source texte 1Source texte 2

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